lundi 31 octobre 2011

Monstrueusement Spécial

Il y a une journée bien particulière, qui donne tout plein de bonheur aux minis, l'Halloween. C'est une journée faite sur mesure pour eux. Ils peuvent s'en donner à coeur joie dans la création de leur costume, ils peuvent rêver à la tonne de bonbons qu'ils récolterons et s'imaginer qu'ils pourront s'en empiffrer.

Cette année, grâce à l'école, cette journée, se sera étirée, du jeudi matin au lundi soir. Fête à l'école le jeudi après midi, refête à l'école le jeudi soir, congé le vendredi, fête à la maison le samedi, fête chez un ami le dimanche et enfin, le véritable jour J, cueuillette dans les rues lundi soir.

Avec tout ça, j'étais presque prête à sauter le lundi soir, n'eut été du bonheur que l'anticipation provoquait en eux et qui faisait rayonner leurs visages, de la journée plus que fantastique du plus mini et du plaisir de les voir si heureux. Alors j'ai revêtu mon costume de mère paresseuse, celui de sorcière, et avec un ChaperonVert, un FantômeVengeur et un beau petit Lion, sans oublier l'Homme qui portait son habit de papa plate qui refuse de jouer le jeu, nous sommes partis à la recherche de sucreries!

La cueillette ne fut pas si grandiose que d'habitude, mais le lundi soir n'est pas un soir très propice à éterniser les festivités d'Halloween, l'école se  repointant le bout du nez tôt le lendemain matin.

Malgré tout, les minis se sont couchés le coeur léger et bien heureux de cette fête automnale. Et moi, autant qu'eux, car ils ont encore une fois profité de leur bonheur d'enfants et ça, ça fait mon bonheur.

Sur ce, je vous dis peut-être à demain

mercredi 26 octobre 2011

Besoin de décompression!

Aujourd'hui, fut le genre de journée que je n'aime pas trop. Je n'ai pas passé une journée de souffrance, loin de là. Mais ce fut une journée interminable! Depuis le moment où j'ai mis une orteil  au sol ce matin, je n'ai pas eu une minute pour m'arrêter. Contrairement à mon habituel rituel matinal, où je prends le temps de sirotter deux cafés, soit à mon bureau, soit dans LeDivan, ce matin, j'ai bu mon café dans une tasse thermos, en route vers la thérapie du Nounours. Et une fois dans la salle d'attente, j'avais oublié mon livre, mon ipod était mort... C'était loin d'être mon plus beau matin.

Suivi de la suite logique, je devais ramener le Nounours à l'école, puis, rencontre avec son professeur et son éducatrice spécialisée. Rencontre toujours agréable, mais, c'était mon dernier moment relaxe de la journée! Ensuite, ce fut la course, aller chercher ce dont j'avais besoin pour un gâteau et me dépêcher à aller cuisiner mes 96 cupcakes plus 2 gâteaux... Il va sans dire que j'ai passé toute... toute ma journée, dans la cuisine.

N'oublions pas que la vie n'arrête pas de tourner parce que j'ai des gâteaux à faire, donc il a bien fallu nourrir toute la petite famille, le retour de l'école, l'heure des dodos et ouff, par chance, l'Homme était à la maison pour une partie de tout ça.

Toutes ces heures à cuisiner, je suis épuisée, mais trop pour aller me coucher. Je ne serais pas capable d'aller au lit, sans avoir pris un peu de temps, pour moi, tranquille, dans LeDivan. Un peu de netsurfing, une petite émission qui ne demande pas un trop haut QI, et bien sûr, un petit tour ici, pour reposer mon pauvre petit cerveau. Car en dehors de compter les tasses de farine et de sucre, aujourd'hui, il n'y a pas eu grand stimulation!

Sur ce, détente cérébrale faite, je vous dis donc peut-être à demain.

lundi 24 octobre 2011

Nous y revoilà!

Une autre journée de passée, me voilà de retour à mon clavier! Je me dis que c'est fort probablement le grand retour au calme au Cocon qui me coupe l'inspiration. Après une année bien mouvementé, passée entre Absences et voyages, crises scolaires et tralala. Une petite vie tranquille, un GéantVert à temps plein au Cocon le temps de parfaire son grand génie, l'absence de crises scolaires majeures, rien de plus reposant, par le fait même, pas très intéressant à raconter non plus.

Il y a bien des projets, mais si lointains et si nombreux, qu'ils pourraient se volatiliser avant de se concrétiser. Notre voyage au RoyaumeMerveilleux, fut la découverte d'une destination créant  une dépendance certaine. Ce qui nous semblait être le voyage que l'on fait une seule fois dans une vie, est devenu un but récurant. Nous ne nous demandons plus Si nous y retournerons un jour, mais plutôt quand nous y retournerons et Si nous arriverons à mettre de côté cette destination, pour aller découvrir d'autres coins de l'univers.

Nous avons les plans rénos, les plans voyages, les plans gros achats, les plans réaménagements, pas de plan déménagement et trois minis qui grandissent tellement vite. L'adolescence frappera à notre porte, très vite, très, très vite!

Dernière année au primaire... voilà mon traumatisme du moment. Je me souviens de la mienne, je me souviens de la rentrée au secondaire, Sa vie est tellement différente de la mienne. Elle devra se séparer de certains de ses amis, car ils seront éparpillés entre quelques écoles et elle en sera bien peinée. Moi, je me libérais d'un environement hostile, pour recommencer à neuf, ou presque. Je reprennais vie et je n'éprouvais aucun regret.

La vie coule, rose, grise, bleue, mais elle coule toujours et on ne peut l'arrêter.

Sur ce, je vous dis peut-être à demain!

dimanche 23 octobre 2011

Quand ça va bien...

Je finis par manquer de jus... La vie coule tranquille, rien de dramatique à utiliser comme inspiration pour venir écrire quotidiennement. J'aimais pourtant ce moment que je m'offrais chaque soir, seule avec mon clavier. Je l'ai troqué pour... rien finalement. Presque chaque soir, je me dis que je devrais essayer de trouver un sujet, il faudrait bien que j'essaie un peu plus fort.

Ce moment que j'accordais à mon blog, je l'utilisais aussi pour en lire d'autres. Comme je n'écris plus, je ne lis pas plus... Ce qui n'aide pas à mon inspiration, et ce qui me manque aussi. Ce soir, j'ai décidé d'essayer un peu plus fort, j'ai commencé par aller faire un petit tour de blogs. Ce qui m'a amenée chez Mamanbooh. Chez-elle, il y a, comme chez-moi, l'infâme dyspraxie, il y a bien plus encore, et comme elle, ma vie ne s'arrête pas aux besoins de mes minis.

Il y a aussi cette part de vie, qui commence à me hanter, qui semble me pendre au bout du nez. Ce fait, qu'être parent, n'exclue pas que l'on est l'enfant de quelqu'un. Qu'être l'enfant de quelqu'un, ne s'arrête pas  le jour où l'on donne la vie à notre tour et que cela implique peut-être aussi des responsabilités auxquelles nous n'étions pas tout à fait prêts, que l'on attendait pas si vite.

Pourquoi? Comment? Comment? Comment? Ces questions, dont on ne peut trouver la réponse, qu'avec le temps... ou pas. De mon côté, j'attends, je surveille de loin, où est, où sera, ma place là dedans? Lorsqu'être JusteUneMaman ne sera plus vraiment une option, car il me faudra faire face à la seconde partie de mon rôle de FilleDe. Je me dis qu'on verra bien quand on verra.

D'ici là, la si difficile année que l'on a traversée est bien derrière nous, il faut profiter de ce moment de paix auquel nous avons droit enfin. Les minimecs vont bien, tous les deux ont la chance d'avoir des professeurs qui ont véritablement choisi le bon métier. Ça fait du bien au coeur de mère, ça fait du bien à l'humeur des minis. C'est un trois en trois cette année, car la grande FleurDesChamps aussi a le professeur qu'elle voulait, ce qui termine bien son aventure au primaire.

Une autre étape de notre vie qui arrive à grand pas... Le Secondaire!! Je n'arrive pas à le croire, déjà... Une autre étape à laquelle je suis pas tout à fait prête...

Sur ce, peut-être, je dis bien peut-être, à demain!

lundi 3 octobre 2011

Les Griffes...

Cette semaine, n'ayant pas de projet culinaire officiel à réaliser, j'ai décidé d'essayer une chose qui m'intriguait; Les faux ongles. J'aurais bien aimé pouvoir aimer, m'offrir un petit côté plus féminin... C'était peine perdue, aussitôt que j'ai eu collé le premier, je regrettais déjà et ce n'était pas près de changer. Le lendemain matin, j'avais l'impression d'avoir fait arracher mes ongles plutôt que d'en avoir ajouté une couche.

Après avoir survécu à la douleur de la première journée, lorsqu'en faisant le lit, deux ongles se sont arrachés, c'est au désagrément de les enlever que j'ai eu droit! Non, mais quelle cochonnerie! Il me faudra trouver autre chose pour me trouver féminine, parce que les faux ongles, on repassera et les vrais, ça ne se fera pas non plus.

Entre temps, je me contenterai de ma créativité et de ma fabuleusement soyeuse chevelure pour être certaine d'être une vraie!

Sur ce, je vous dis peut-être à demain!