dimanche 20 février 2011

On croise les doigts

Après avoir passé une belle petite fin de semaine, tout ce qu'il y a de plus calme au Cocon, c'est le moment de se préparer au matin qui s'en vient. Une autre semaine qui commence, et il faut croire qu'elle sera meilleure que la dernière.

Demain, on recommence à neuf, LaTomate ayant retrouvé son humeur normale pendant la fin de semaine, j'ai bon espoir que tout ira mieux. Il m'a même grandement impressionnée, avec toutes ses conversations, ces petits bouts de ses apprentissage qu'il me communique fièrement. Il apprend merveilleusement cette nouvelle langue, prouvant encore une fois que j'avais raison.

Les minis, en dehors de se reposer toute la fin de semaine, se sont bien amusés. L'amusement majeur est venu de LaTomate, qui, depuis déjà un bon moment, demandait à ce que l'on sorte les bacs de trains. La gigantesque piste, étant gigantesque, se fait emboîter après un très court usage, car il n'y a aucune pièce dans ce Cocon, pouvant être sacrifiée à un seul jeu, si beau soit-il.

Comme sa demande était persistante et très bien faite, j'ai donc décidé d'accepter et me suis mise à vider le garde robe dans lequel les bacs étaient empilés. Ce qui créa la parfaite occasion pour NounoursPremier de faire un bon ménage de ce qu'il utilisait pour nous faire faussement croire qu'il était le parfait petit garçon à la chambre bien rangée.

LaTomate se mit calmement à sortir les morceaux qu'il souhaitait utiliser et il s'amusa seul comme un grand. Puis, finalement tout le troupeau se mit à l'oeuvre avec lui pour créer un parcours intéressant. Ce matin, ce fut LaFleurDesChamps qui s'y mit, pendant ce qui sembla une éternité, elle fit ce qu'elle fait très rarement, assemblant la bête à la manière d'une pro du casse-tête. Puis encore une fois, elle fut rejointe par ses frères, et c'est sur une musique de chemin de fer qu'une partie de la journée s'écoula.
Le bureau est toujours envahi de la gigantesque piste, toutes les pièces étant installées, recouvrant tout espace de sol disponible... Combien de temps accepterais-je de les enjamber? Là est la question!
Sur ce, je vous dis peut-être à demain.

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