mercredi 4 novembre 2009

Pas de coeur...

Ou plutôt pas capable de... On a bien essayé, on a fait comme le doc le disait hier, le recoucher sans dire un mot. C'est simple, ça me fendait le coeur! L'entendre en panique, qui ne comprenait absolument pas pourquoi ses parents l'ignorait et l'enfermait dans sa chambre au lieu de l'accueillir dans leur lit, au creux de leurs bras, comme d'habitude, ça ne pouvait pas se faire pour moi.

Après l'avoir retourné dans son lit plusieurs fois en trente minutes, j'ai cédé, je suis allée le calmer. Je lui ai expliqué, que je l'aimais, qu'on était pas fâchés, qu'il n'avait pas à avoir peur, je l'ai caressé, je l'ai consolé et en quinze minutes, il était calme et prêt à se rendormir... dans son lit.

Ce répit n'a duré qu'une heure, mais je considère que c'est une petite victoire, à minuit trente, ce n'était plus dans mes priorités de le retourner dans son lit, il était calme, il est venu nous rejoindre et a dormi sans me frapper pour tout le reste de la nuit.

On remet à vendredi soir la tentative de le laisser dans sa chambre, la fin de semaine serait un meilleur moment pour faire les deux premières soirées puisque GéantVert ne travaille pas le lendemain.

Sur ce, peut-être à ce soir.

2 commentaires:

  1. ça me fait pensée, à miss, quand mrs est né, elle n'a pas eu le choix de dormir dans son lit. Que d'allé retour entre son lit et le mien...il faut être patient, il va finir par rester dans son lit toute la nuit.Le truc il ne faut pas que tu cède, je sais se n'est pas facile pour un coeur de mère mais après tu vas être contente...de passer de bonne nuit de sommeil!!!

    Bon courage!!
    bye bye
    la mère poule...

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  2. Merci de l'encouragement, disons que c'est très difficile, surtout que la seule raison qu'on a, c'est qu'il nous cogne dessus... si c'était pour un autre enfant, ça serait plus important à nos yeux et on ferait ce qu'il faut. Mais comme ce n'est que nous qui sommes touchés, on a de la misère!!

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